Document - RAPPORT 090303

03.03.2009 21:13 Niveau.6

Juste avant le début de l’opération, une révélation surprenante a été faite.

J’avais identifié ceci comme un incident de bioterrorisme, et j’ai mené une enquête sur ce front, qui a abouti à une opération conjointe avec la Branche d’Afrique de l’Ouest. Cependant, ils ne l’ont pas reconnu comme tel et semblaient considérer cette opération comme une simple opération d’arrestation d’Irving.
Naturellement, l’éventualité du bioterrorisme n’a pas été signalée aux équipes sur le terrain.

J’ai déposé une plainte ferme avec AMADI de la division d’Afrique de l’Ouest envers le département de planification des opérations. Cependant, ils ont refusé d’agir, affirmant que les preuves de bioterrorisme étaient trop faibles sur la seule base du blog d’Adam.

J’ai insisté pour les informer de cette possibilité, mais ils étaient trop obstinés pour laisser des informations confuses être envoyées sans précaution sur le terrain.

C’était mon erreur.
J’avais supposé que la Branche d’Afrique de l’Ouest était sur la même longueur d’onde que moi.
J’ai mal géré la situation.
C’est la deuxième erreur maintenant.

J’aurais au moins voulu informer Chris Redfield de cette possibilité, mais il était déjà en train d’effectuer des manœuvres opérationnelles.
En tant qu’analyste du renseignement de niveau 6, je ne suis pas habilité à lui transmettre directement des informations.

Dans cette situation, je n’ai pas le choix.
Bien que ce soit contraire aux règles, je vais devoir utiliser mes relations personnelles pour faire passer l’information.
Maintenant, je dois faire ce que je pense être le mieux.

D’ailleurs, j’ai reçu une question de la part du journaliste aujourd’hui.

Il semble qu’il ait également entendu parler d' »Uroboros ». Je pensais que cette rumeur ne circulait qu’au sein de la BSAA, mais elle semble s’être propagée ailleurs.

Ça pourrait nécessiter une enquête plus approfondie.