Document - RAPPORT 090213

13.02.2009(Ve) 18:30　Niveau.06

Dans le cadre du suivi des incidents dont j’étais responsable, j’ai continué à surveiller la « Zone Autonome de Kijuju » en Afrique.

Comme cela l’a été signalé, le chaos s’est poursuivi dans ce pays depuis le changement de régime.
On peut également parler des mouvements xénophobes d’un côté, mais je ne pense pas qu’il s’agisse de la seule cause de la situation dans la Zone Autonome de Kijuju.
Bien que les informations ne soient basées que sur des ouï-dire, il y a ici des signes épars, semblables au bioterrorisme.

Par exemple, le corps sans tête d’un chien sur le Blog d’Adam.
Et le corps fourré dans un sac en toile de jute et brûlé.

C’est un fait bien connu, mais les symptômes de la tragédie de Raccoon City ont commencé à apparaître quelques mois avant sous la forme du cadavre d’une femme assassinée.
Les cadavres inhabituels sont souvent le fait d’humains ou d’animaux infectés par des virus ou autres armes biologiques.

S’il s’agit du travail d’une seule personne ou d’un seul animal, il devrait y avoir un mode opératoire, mais cela n’a pas été observé.
Il est donc plus naturel de supposer que plus d’une personne ou d’un animal soit impliqué dans les événements qui se déroulent à Kijuju.

Et les premiers signes concrets de bioterrorisme ont été confirmés sur le Blog d’Adam, qui a été mis à jour aujourd’hui.

>La chose la plus bizarre sur laquelle j’ai posé les yeux récemment doit être le chien que j’ai vu avec des sangsues ou des tentacules sur la gueule.

Les « sangsues ou les trucs ressemblant à des tentacules » sont probablement les tentacules d’un « Plaga ».
Oui, ce « Plaga » qui figurait dans ce « Rapport Leon ».
Par conséquent, nous pensons que le niveau de surveillance dans la Zone Autonome de Kijuju devrait être augmenté et qu’une enquête à grande échelle devrait être menée.
Ensuite, lorsque des preuves suffisantes seront réunies, la branche compétente: la Branche d’Afrique de l’Ouest, sera notifiée et il lui sera demandé d’exécuter l’opération.
Mais nous n’avons pas encore assez d’éléments pour cela.
Dans un premier temps, nous demanderons à la Branche d’Afrique de l’Ouest de nous mettre en relation avec des agents locaux sous couvert de demande de coopération.
Il est probable que cette affaire soit approuvée en tant qu’opération officielle à une date ultérieure.
Pour rappel, cette affaire sera conservée dans le journal de bord à partir d’aujourd’hui.